Le Grand Sud Caraïbe lance son Appel à Manifestation d’intérêt visant les “Mise à disposition, maintenance et exploitation de mobiliers urbains (Abribus) Publicitaire et non Publicitaires.”
Vous trouverez ci-joint le Dossier de consultation.
Dossier de consultation
AMI DOSSIER DE CONSULTATION N° TR2405
Dossier de Consultation de AMI Mise à Disposition et exploitation Abribus Publicitaire et non Publicitaire
Taille du fichier: 1.27 Mo
Créé: 02-02-2024
Mis à jour: 02-02-2024
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Echanges entre les équipes administratives des EPCI et communes et les services de l’Etat
L’ACTUALITE
Le mardi 20 juin 2023, de 10 a 14 heures, le Grand Sud Caraïbe accueille la 2eme édition des rencontres des Directeurs Généraux des Services initiées par la Préfecture de Guadeloupe.Maurice TUBUL, secrétaire général de Préfecture, accompagné des services dont il a la charge, notamment la DEAL, la Direction de la citoyenneté et de la légalité, service de la légalité et d’appui aux collectivités a échangé avec les DGS du territoire du Sud Basse-Terre sur un ordre du jour préalablement établi:
politique de prévention des risques;
mise en œuvre de la loi GEMAPI;
présentation d’un Fonds Vert;
actualités des PPRN
plan séisme Antilles
évaluation de la mise en œuvre de la demat’ADS
actualités de la commande publique
accompagnement de l’Etat dans la délivrance des titres d’identité et de voyage et prévention et lutte contre la fraude dans ce domaine ( usurpation d’identité, fraude documentaire, …);
phasage des projets DETR
Ces rencontres sont l’occasion de débattre et de faire un retour d’expérience des techniciens sur les politiques publiques mises en œuvre sur les territoires.
Première visite du Préfet Lefort à la CAGSC
L’ACTUALITE
Ce vendredi 31 mars, le Président du Grand Sud Caraïbe Thierry ABELLI, accompagné de 3 de ses vice-présidents, Marie-Luce PENCHARD, Claude EDMOND et Heric ANDRÉ, ainsi que de ses administratifs a accueilli le Préfet de Guadeloupe Xavier LEFORT et le secrétaire général d’arrondissement Maurice TUBUL . Cette matinée de présentation fut l’occasion pour le Président de l’EPCI d’exposer la situation financière de la collectivité ainsi qu’un certain nombre de dossiers en cours tels que :
Les travaux de désensablement de la marina de Rivière-Sens,
mise aux normes de l’éclairage du stade intercommunal,
la réhabilitation de la médiathèque « Albert BEVILLE »,
la rénovation du petit bassin de la piscine intercommunale.
Le Président ABELLI rappelle en outre à Monsieur le Préfet l’impérieuse nécessité pour les agents d’une organisation, de disposer de bonnes conditions de travail, dans un espace accueillant, plus propice à une production de qualité et plus favorable à l’efficacité. Il souligne le souhait de son équipe de construire un siège moderne et adapté au Grand Sud Caraïbe afin d’améliorer l’image encore dégradé de cette administration .Cet échange cordial s’est soldé par un moment convivial autour d’un pot de bienvenue
Pour informer ses habitants, l’Agglo Grand Sud Caraïbe publiera ici des éléments d’analyse et de contextualisation des politiques de son champ de compétence ainsi que les publications réglementaires.
10 plus hautes rémunérations au sein de la fonction publique territoriale
Conformément à son obligation au titre de l’article L716-1 du code général de la fonction publique, la Communauté d’agglomération publie ici sous la forme d’un tableau annuel les 10 plus hautes rémunérations au sein de la fonction publique territoriale.
Please Select A Table From Setting!
2023 CAGSC 10 + HAUTES REMUNERATIONS
Taille du fichier: 110.22 KB
Créé: 13-05-2024
Mis à jour: 13-05-2024
Depuis le 1er juillet 2022, toutes les collectivités doivent publier leurs actes réglementaires en ligne.
Retrouvez ici les actes :
L’article 78 de la loi engagement et proximité a habilité le gouvernement à modifier par voie d’ordonnance, ” les règles relatives à la publicité des actes des collectivités territoriales et de leurs groupements “.
L’ordonnance et le décret du 7 octobre 2021 énoncent ainsi les nouvelles règles en la matière.
A partir du 1er juillet 2022, toutes les collectivités doivent publier leurs actes réglementaires en ligne. Sont ainsi concernés des documents tels que : délibérations, arrêtés, règlements de police, règlements intérieurs de service public ou encore procès-verbaux de réunions… Il est à noter que le caractère exécutoire des actes n’entre dorénavant en application qu’à partir de leur publication en ligne.
Seules les communes de moins de 3500 habitants peuvent encore décider de conserver une publication papier de leurs actes réglementaires, mais elles doivent dans ce cas délibérer en ce sens.
Article en cours de finalisation…
Documents Stratégiques
Documents
Les documents cadres déterminent le périmètre d’intervention de domaines spécifiques. Ils définissent des axes de travail à l’échelle locale, régionale ou nationale pour garantir cohérence et transversalité des actions engagées par le Grand Sud Caraïbe.
En tant que circonscription administrative la communauté d’agglomération du Grand Sud Caraïbe est dotée d’une personnalité morale disposant d’une autonomie de gestion. Les statuts déterminent son périmètre d’action et ses champs de compétences. Ils peuvent évoluer avec le temps. Les statuts en vigueur datent de janvier 2014.
Ce document expose une vision ambitieuse et partagée de l’Agglomération pour les dix prochaines années, les valeurs sur lesquelles elle entend bâtir son action, les orientations, priorités et actions qui en découlent.
Issu de la loi de 2014, le contrat de ville est un outil de cohésion urbaine majeur. Il orchestre la politique de solidarité menée avec l’État et l’ensemble des signataires. Une démarche concertée qui détermine des orientations stratégiques ayant pour principal objectif de réduire les fractures sociales et les inégalités territoriales.
Le schéma de cohérence territoriale (SCoT) est un document d’urbanisme qui, à l’échelle d’un territoire de projet ou bassin de vie (périmètre intercommunal ou au-delà), détermine l’organisation spatiale et les grandes orientations de développement d’un territoire.
Le PCAET est un outil de planification, à la fois stratégique et opérationnel, qui permet aux collectivités d’aborder l’ensemble de la problématique air-énergie-climat sur leur territoire.
Le CRTE (Contrat de Relance et de Transition Écologique) est un outil contractuel conçu pour accompagner les territoires dans leur projet de relance et de transition écologique.
Il vise à la fois :
à faciliter la cohérence, la transversalité et l’opérationnalité des actions prévues pour traduire les ambitions de transition écologique, de développement économique et de cohésion territoriale de ces territoires,
et à simplifier les démarches contractuelles existantes entre l’Etat et les collectivités signataires, notamment en intégrant les contrats de transition écologique (CTE).
La compétence de gestion des milieux aquatiques et préventions des inondations est définie en référence à l’article L. 211-7 du code de l’environnement. Cette compétence s’articule autour de quatre missions définies par le code de l’environnement :
– l’aménagement d’un bassin ou d’une fraction de bassin hydrographique,
– l’entretien et l’aménagement d’un cours d’eau, canal, lac ou plan d’eau, y compris les accès,
– la défense contre les inondations et contre la mer,
– la protection et la restauration des sites, des écosystèmes aquatiques et des zones humides ainsi que des formations boisées riveraines.
Au Cœur de l’Histoire de la Guadeloupe
Le territoire
Table des matières
Le sud Basse-Terre est un creuset singulier de par sa configuration et sa position géographique, où les population au travers des âges ont toujours pris une part particulière dans les différentes étapes de la grande Histoire de l’archipel, voire même de la Caraïbe.
Temps Géologiques
La Basse-Terre c’est l’île de l’archipel Guadeloupe qui coté est s’étend sur 55 km de long et 25 km de large.
C’est l’une des plus grandes îles de l’arc des Antilles. Le territoire propre du Sud Basse-Terre avec ces 300 Km² en constitue ainsi un bon tiers.
Du nord au sud, elle est parcourue par une chaîne montagneuse formée de roches volcaniques.
Le sommet de cette chaîne culmine à 1 467 m au niveau du volcan de La Soufrière. C’est le plus haut sommet des Petites Antilles.
Sur le plan géologique l’île de la Basse-Terre émerge des eaux plus tardivement que l’île de Grande Terre.
Elle s’est mise en place entre 2,8 et 2,7 Million d’années-
La Basse – Terre est constituée de sept complexes volcaniques retraçant les différents âges d’affleurement des matières.
Le Sud Basse-Terre est constitué de 4 de ces 7 complexes :
La Chaîne de Bouillante est située en bordure de la côte caraïbe et est limitée à l’est par les Pitons de Bouillante. 1 Ma et 200 000 ans (source hydrothermale)
Le Complexe Volcanique de Trois-Rivières – Madeleine. Il est localisé entre les Monts Caraïbes au sud et la Grande Découverte au nord. Son activité a débuté il y a 100 000 ans et s’est terminé il y a 1 000 ans. Coulée de Palmiste
LeComplexe Volcanique de la Grande Découverte – Soufrière. Son activité a débuté il y a 205 000 ans et se poursuit actuellement. Il est situé entre la Chaîne Axiale et les Monts Caraïbes. Il comporte plusieurs édifices volcaniques: Grande découverte, Carmichaël, Morne Amic, l’Echelle, la Citerne et La Soufrière.
Les chaines montagneuses qui structurent le territoire ont connu une mise en place en trois phases
La migration du Nord-est vers le sud de ce volcanisme a été évaluée à la vitesse de 18 à 25 km/Ma soit 1 à 2,5 cm/an. La vitesse de convergence entre la plaque Américaine et la plaque Caraïbe est du même ordre.
En Guadeloupe, c’est cette zone qui est le premier lieu d’implantation des peuples préhistoriques dits précolombiens. Une ère d’occupation découpée par les spécialistes en deux grands âges : pré-céramique et céramique (avant et après l’invention de la céramique).
Ces groupes introduiront dans l’archipel la poterie, l’agriculture ainsi qu’un certain nombre d’espèces animales (chien, agouti, manicou, iguane (Iguana iguana)).
Ils seront les premiers à construire de vrais villages qu’ils installeront d’abord sur les meilleures terres agricoles.
Dès l’origine, ces pionniers établiront, dans certaines îles, des sites de grande surface, comme celui de Pearls à Grenade, de Vivé en Martinique ou de Trants à Montserrat.
[Arawaks de culture Saladoïdes, ]
La distinction (souvent retenue dans la culture populaire) entre les arawaks et les caraïbes serait surtout linguistique selon des études récentes.
La société kalinago est caractérisée, d’un point de vue linguistique, par un phénomène de diglossie. En effet, les hommes et les femmes parlent deux «langues» différentes. La langue des femmes est totalement arawak. La langue des hommes est,elle, caractérisée par une grammaire arawak et une base lexicale majoritairement arawak au sein de laquelle ont été introduits une quantité importante de termes d’origine caraïbe.
Au XVIe siècle, ils occupaient les Petites Antilles depuis Tobago jusqu’à la Guadeloupe, et de manière plus disséminée vers le nord, à Saint-Christophe et Anguilla. Au centre de cet archipel, la Dominique et Saint-Vincent, les îles les plus peuplées, formaient le cœur de la société caraïbe. Là vivaient les plus grands chefs et étaient organisés les grands rassemblements… Ces hommes circulaient sans cesse d’île en île pour assister aux cérémonies, rendre visite à leur famille, propager des nouvelles ou échanger des biens. Leur maîtrise de la navigation a impressionné les chroniqueurs. « Ils se déplaçaient si vite qu’ils pouvaient rattraper un voilier à force de rames », rapporte l’historien Jean-Pierre Moreau qui, dans les années 1980, a découvert et publié le texte de l’Anonyme de Carpentras (Un flibustier dans la mer des Antilles, éd. Payot, 2002). Creusées dans des troncs, leurs embarcations pouvaient mesurer jusqu’à 18 mètres de long et contenir une soixantaine de personnes. Un art de la course sur mer qui les conduisait à de fréquentes incursions vers le nord, à Porto Rico, comme vers le sud, dans le delta de l’Orénoque. Des expéditions parfois guerrières, mais aussi commerciales.
La distinction effectuée par les Européens entre Arawaks des Grandes Antilles (Taïnos) et Caraïbes des Petites Antilles (Kalinagos) possède une réalité sociale indiscutable.
La société taïno est une société hiérarchisée selon un système de chefferie, le caciquat. La société est dominée par les caciques qui sont issus de la classe dominante, les «Nitaïnos». Ils tirent leurs pouvoirs politiques de leur statut de chefs religieux. La classe dominée porte le nom de «naborias».
À l’opposé, les Amérindiens des Petites Antilles vivent selon un mode essentiellement égalitaire. S’il existe des hommes plus importants que d’autres dans un village (chef de guerre, chef religieux, etc.), ce pouvoir n’est pas héréditaire.
De plus, il est limité à un domaine d’activités et peut aussi être limité dans le temps. L’unité de base,politique, sociale et économique, est le village. Des liens existent cependant à un niveau supérieur entre les différents villages. Ils sont réactivés à l’occasion d’échanges commerciaux, de guerres ou de mariages. Cette différence sociale pourrait aller dans le sens d’une réelle différence ethnique entre les deux groupes. Cependant, la distinction effectuée par les chroniqueurs s’appuie aussi sur d’autres éléments qui ne sont pas de nature ethnique ou culturelle.
Dès 1503 la reine Isabelle d’Espagne proclame la mise en captivité des peuples qui résistent à sa domination il en découle en 1511 une classification par Diego Colon qui se conclura en 1518 par la distinction entre «Caraïbes» et «non Caraïbes» devenant un enjeu de plus en plus important pour la Couronne d’Espagne, Rodrigo de Figueroa est appointé en tant que juge, avec les pleins pouvoirs, afin de produire une classification définitive des cultures amérindiennes, partout dans les territoires connus des Espagnols.
Les différences qui existent entre ces deux classifications témoignent de leur caractère économique. Ainsi chaque île va être classée en fonction de l’intérêt que trouveront ou non les Espagnols.
Le Caraibe désormais dans cette assertion c’est l’Amérindien qui peut être réduit en esclavage. En effet, les Grandes Antilles vont être le premier espace américain à être transformé en colonie d’exploitation. Il va en découler un besoin de main-d’œuvre servile pour travailler dans les plantations et les mines d’or.
Les premières victimes de l’esclavage aux Antilles vont être les Kalinagos.
Le Sud Basse-Terre est le couffin des sites archéologiques les plus remarquables révélant en particuliers les gravures rupestres dites des roches gravées ou encore des céramiques archéologiques témoins des différents âges de peuplements amérindiens de la Guadeloupe.
D’abord la ville de Trois rivières s’illustre avec le Parc des roches gravées qui regroupe 20 roches gravées présentant plus de 230 gravures datées du 4 ème siècle de notre ère, le territoire recèle d’autre sites inestimables dont les trésors sont insoupçonnables :
Le Site de l’Anse Galets : 9 roches gravées et 2 polissoirs inscrits au titre des monuments historiques Décembre 2012
Le Site de la vallée d’or : 76 roches gravées et 26 polissoirs inscrits au titre des monuments historiques Décembre 2008
Le Site de l’Anse Duquéry : inscrits au titre des monuments historiques Décembre 2013
Le Site du Petit Carbet : situé au long du cours de la rivière Carbet et inscrits au titre des monuments historiques 2013
Mais Trois rivières n’est pas le seul théâtre de ces pétroglyphes mystérieux, les sites ornés du littoral (dont fait notamment partie le parc archéologique des roches gravées), était très probablement utilisés par une pluralité de groupes différents dans le cadre de leur approvisionnement en eau lors de trajets interinsulaires ou lors de rassemblements périodiques
Ainsi on retrouve des roches gravées dans les communes de Baillif (rivière du Plessis) et de Vieux Habitants ( Grand Rivière), mais aussi à Capesterre Belle Eau( Embouchure Pérou inscription par arrêté du 30 novembre 2015)
La ville de Capesterre Belle Eau referme les fossiles de 2 phases chronologiques de l’ère précolombien la plus ancienne, cédrosan saladoïde déjà repérée lors de fouille des gisements de l’Allée Dumanoir s’illustre aussi sur ceux de Moulin à Eau.
On y retrouve aussi des niveaux d’occupation sous formes d’aires de rejets qui relèvent du troumassan troumassoïde et sont extrêmement bien conservés malgré l’érosion liée à l’exploitation agricole. Il est ainsi possible d’imaginer une occupation évolutive du littoral vers l’intérieur des terres au fil des âges d’occupation : occupation cédrosan-saladoïde installée à 200 m du littoral et mise au jour en bordure de l’Allée Dumanoir (sites de la Rivière du Grand Carbet, de l’Allée Dumanoir et de Moulin-à-Eau) , puis ère troumassan troumassoïde intermédiaire et enfin le village troumassoïde localisé à Fromager, plus à l’intérieur des terres.
La Guadeloupe n’était en 1511 pas classée “Caraïbe”, traduisant la volonté d’y maintenir les Amérindiens pour y consacrer le projet de colonisation, initié dès la promesse de céder l’archipel à l’ambassadeur de Venise en 1496.
Pourtant en dépit de ses règles, on y observe un accroissement notable du peuplement de Caraïbes qui s’y réfugient pour fuir les sévices perpétrées à leurs encontre dans les grandes îles.
En 1542, la nouvelle loi interdit de réduire en esclavage les Amérindiens. Cette date correspond à la diminution de l’afflux d’or américain en Espagne. En 1547, il est à nouveau autorisé de réduire les Caraïbes en esclavage mais seulement les hommes.
Offrant des ressources inestimables, notre territoires est le lieu d’implantations naturelles des colons européens qui s’approprient tour à tour l’archipel. Le débarquement de Colomb
Lors de son deuxième voyage vers le Nouveau Monde, le 04 novembre 1493, Christophe Colomb “aborde” sur cette île que ses habitants, les Indiens Caraïbes, appellent Caloucaéra. C’est le jour du pèlerinage de la Sierra de Guadalupe, en Estrémadure, d’où le choix de ce nom pour rebaptiser cette terre.
En 1496 : L’équipage de Christophe COLOMB de retour à Capesterre Belles eaux est reçu à coup de flèches empoisonnées, en représailles des exactions commises depuis 3 ans. La Guadeloupe devient un lieu de résistance des Caraïbes.
Le 28 juin 1635, Jean Duplessis et Charles de l’Olive, de la Compagnie des Isles d’Amérique (ou des Isles de l’Amérique), débarquent avec 400 colons engagés par contrat pour trois ans, à la pointe Allègre et prennent possession de la Guadeloupe au nom du roi Louis XIII. C’est de cet acte que l’on date le fait politique que la Guadeloupe devient française.
Le premier geste du colon Charles Liénart de l’Olive, arrivé en Guadeloupe, est de planter une croix. Geste symbolique qui affirme les ambitions de la Compagnie des îles d’Amérique : convertir les « sauvages » et prendre possession des terres.
Le pas avait été franchi dix ans plus tôt, à Saint-Christophe où Français et Anglais avaient massacré des centaines de familles caraïbes. Des voix s’élevèrent, par exemple celle de Jean du Plessis, l’associé de Liénart de l’Olive, partisan d’une amitié franco-indienne, ou du père Breton qui refusait « de faire la guerre injustement à une nation libre et lui ravir ses biens et ses habitations ». Mais les bons sentiments ne pesèrent pas lourd face aux appétits commerciaux de la Compagnie. Les jardins, où les Kalinagos cultivaient leurs fruits et des plantes médicinales, furent pillés, les terres défrichées pour y planter du tabac… Il en fallait plus pour faire plier ces guerriers.
Il est à noté que s’est fondée en 1636,la plus ancienne paroisse et commune de Guadeloupe et des Antilles françaises. Son nom historique était auparavant Habitants avant de devenir Vieux-Habitants.
Deux en plus tard éclora Bouillante A l’époque on la nommait “ilet-aux-Goyaves”, Fontaines Bouillantes puis Bouillante, la ville tire son nom des sources d’eau chaude de sa région aux : vertus thérapeutiques reconnues.
Le 4 avril 1640, M. Aubert, ancien chirurgien du Roi à l’île de Saint-Christophe et époux de la veuve de Du Plessis, est nommé par la Compagnie des Iles d’Amérique, lieutenant général de l’île de la Guadeloupe, en remplacement de l’Olive. Il s’emploie à faire la paix avec les Caraïbes et à amener dans l’île la prospérité tant attendue.
La région sud-ouest de la Guadeloupe réunit les caractères d’une région salubre : située au pied des montagnes, bien arrosée mais sans humidité excessive, elle possède de très nombreuses rivières et ravines. L’absence de marécages en fait un site attrayant pour le colonisateur, ainsi que la proximité d’un port ou d’une bonne rade.
Sur le site initial de la rive gauche de la rivière du Galion, qui n’est autre que l’actuel quartier de Rivière Sens, Aubert fit construire sa maison à charpente de deux étages, qui fut, paraît-il, fort longtemps, la plus belle de l’île. Mais il ne devait guère en profiter car, un seigneur de la Compagnie, Charles Houël, petit noble normand très ambitieux, réussit, après un voyage effectué en Guadeloupe en 1642, à se faire nommer gouverneur de l’île, le 1er avril 1643.
Aubert, qui se retrouve sous ses ordres, n’hésite pas à qualifier son action d’ingratitude et de trahison, car il l’avait reçu avec tous les honneurs. Sa présence constitue une gêne pour Houël qui met en oeuvre une machination contraignant Aubert à s’éloigner de la Guadeloupe.
Désormais seul maître de l’île, il contribue comme les gouverneurs des autres îles à accroître les difficultés de la Compagnie jusqu’à l’acculer à la faillite. Aussi, en 1649, lorsque cette dernière se décide à vendre son empire colonial, Houël et son beau-frère, le sieur Jean de Boisseret d’Herblay, achètent la Guadeloupe, la Désirade, les Saintes et Marie-Galante pour 60000 livres de pétun (tabac).
L’homme d’affaires Charles Houël fut nommé gouverneur de la Guadeloupe en 1643 par la compagnie des îles d’Amérique fondée par D’Esnanbuc).
Dès lors se développe en Guadeloupe, avec l’aide d’experts juifs hollandais chassés du Brésil, la culture de la canne à sucre.
Le gouverneur Houël organise l’importation d’esclaves africains, dès 1641.
Il fonde Basse-Terre en 1649 et y fait construire le fort Delgrès.
En 1664, la Compagnie des Indes occidentales, créée par Colbert, rachète la Guadeloupe à Houël et l’archipel passe sous le contrôle de l’autorité royale.
Dès 1641, la Guadeloupe voit débarquer ses premières personnes réduites en esclavages
Les premiers esclaves africains destinés à la toute nouvelle colonie de la Guadeloupe arrivent à la Pentecôte de 1641, soit 6 ans après l’installation des premiers colons . Ils sont 60, suivis d’une centaine d’hommes et de femmes quelques années plus tard.
L’arrivée de colons juifs hollandais qui fuient le brésil avec 300 de leur esclaves en 1654 marque le début de l’augmentation rapide de la population servile. Dès 1656 la Guadeloupe compte 12 000 blancs et déjà 3000 esclaves noirs soit deux fois plus que la Martinique. Le rapport va vite s’inverser. A la révolution française en 1789, l’île compte 13.712 blancs, 3.058 noirs libres et 89.823 esclaves.
Les conditions de vie et de labeur sont inhumaines. Les cadres réglementaires (Code noir) ou religieux (évangélisation) ne visent qu’à justifier les pires atrocités et sévices commises surs ces hommes et femmes suppliciés.
Mais malgré les fers la surveillance des contre-maitres et les châtiments encourus il n’était pas rare que certains aient la bravoure de s’échapper. Cette digne quête de la liberté au péril même de leurs vies porte un nom qui a traverser les âges : Le marronnage.
Ce mot viendrait d une déformation de l’espagnol « cimarron » (sauvage)
Il est attesté qu’il a existé des bandes de marrons et même qu’une révolte conduite par Etienne en 1736 avait avorté de peu. On parla même de camp de jusqu’à 600 hommes qui seraient 1 siècle plus tard des descendants de ces insurgés là.
C’est la dernière bataille navale livrée dans les eaux américaines au cours de cette guerre. En 1783, la Grande-Bretagne, l’Espagne et la France signent le traité de Versailles qui redistribue, entre autres, les colonies britanniques, espagnoles et françaises des Antilles. La bataille des Saintes marque un tournant dans la tactique des combats en mer, au sens où l’engagement débouchera désormais sur de véritables batailles d’anéantissement.
Le César (74 canons), capturé par les Britanniques, explose dans la nuit du 12 au 13 avril. Ce sacrifice n’a cependant pas été inutile car le reste de l’escadre peut se replier. Les pertes françaises sont de 2 000 morts ou blessés et 5 000 prisonniers. Côté navires, outre le Ville de Paris, le Glorieux, l’Hector et l’Ardent, la marine française perd le Caton et le Jason qui sont poursuivis et capturés le 19 avril au large de Porto Rico lors de la bataille du canal de la Mona.
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La communauté d’agglomération Grand Sud Caraïbe fonctionne conformément aux textes et réglementations s’appliquant à toutes les collectivités et ce, notamment en vertu de l’article L5211-1 du Code Général des Collectivités Territoriales.
Le Conseil communautaire est l’organe délibérant de la communauté d’agglomération. Son rôle est de se prononcer sur les orientations stratégiques et de statuer sur les décisions d’ordre budgétaires. Lors de ses séances, il vote des délibérations préparées en amont par les différents services et commissions.
Les 44 membres du conseil communautaires sont des élus des 11 communes de la CAGSC :
Le Bureau Communautaire est composé de 10 membres soit un Président et 9 vice-Présidents.
Il se réunit sous la présidence du Président de la CAGSC. N’étant pas une instance délibérative, il donne son avis sur les grandes orientations de la CAGSC.
Membres du Bureau Communautaire
Les élus du conseil communautaire se répartissent au sein de différentes commissions qui ont pour but d’examiner les dossiers relatifs aux compétences de la CAGSC. Elles donnent leur avis concernant les projets de délibérations.
Si ces projets de délibérations obtiennent un avis favorable, ils sont présentés au vote lors des séances du Conseil Communautaire.
Maire de la Ville de Terre de Bas
Présidente par délégation, pour les communes des Saintes, des commissions :
Transports urbain, scolaire et maritime
Environnement et Cadre de vie
Sport et Culture
Conseillère Municipale de la ville de Baillif
Conseillère Régionale
Présidente de l’Agence de la Biodiversité
*** *** ***
Membre de la Commission Environnement, Ecologie et Biodiversité
Conseillère municipale de la ville de Basse-Terre
Vice Présidente du Conseil Régional
***
Président par délégation des Commissions Affaires Européennes et Coopération avec la Caraïbe
M. Thierry ABELLI : Président (Bouillante)
M. Jean-Louis FRANCISQUE : 1er Vice-Président (Trois-Rivières)
M. Alain LEON : 2ème Vice-Président (Capesterre-Belle-Eau)
M. Claude EDMOND : 3ème Vice-Président (Gourbeyre)
Le conseil d’exploitation des Transports, placé sous l’égide de M. Thierry ABELLI, le président de la CAGSC, met en oeuvre un système de transport urbain et scolaire permettant aux usagers de se déplacer sur l’ensemble des communes du sud Basse-Terre.
Ce réseau est un moyen de déplacement pour se rendre au travail ou en formation, pour la consommation, pour la culture, pour se rencontrer ou pour favoriser l’attractivité du territoire.
Il s’agit d’un opération d’urbanisme écologique et économique pour désenclaver les quartiers isolés et réduire l’utilisation des véhicules privés.
C’est également une initiative sociale afin de permettre aux plus modeste de nos concitoyens de pouvoir se déplacer.
Les conseillers communautaires membres du Conseil d’Exploitation des Transports:
M. Jacques ANSELME (Trois-Rivières)
M. Philippe CHAULET (Bouillante)
Mme. Sylvie GUSTAVE-DIT-DUFLO (Baillif)
M. Louly BONBON (Terre de Haut)
M. Jules DARES-LOUIS (Vieux-habitants)
M. Rodrigue LATCHMAN (Capesterre Belle-eau)
M. Héric ANDRE (Vieux-Fort)
Irrigation
Les conseillers communautaires membres du Conseil d’Exploitation de l’Irrigation:
M. Jean-Michel GUSTAVE-DIT-DUFLO (Baillif)
M. Jules OTTO (Vieux-habitants)
Mme Patricia BAILLET (Bouillante)
M. Rosan BASSETTE (Gourbeyre)
Personnes qualifiées :
M.Francis LAMI
M. Etienne CRANE
M. Gérard BERRY
Les commissions
L’institution
Les élus du conseil communautaire se répartissent au sein de différentes commissions qui ont pour but d’examiner les dossiers relatifs aux compétences de la CAGSC. Elles donnent leur avis concernant les projets de délibérations.
Si ces projets de délibérations obtiennent un avis favorable, ils sont présentés au vote lors des séances du Conseil Communautaire.
La Communauté Grand Sud Caraïbe dans le cadre de sa politique d’investissements, ne peut effectivement réaliser ses achats dans les mêmes conditions que des acteurs privés. Elle doit passer des marchés publics.
Un marché public est un contrat conclu à titre onéreux entre des pouvoirs adjudicateurs (ministères, services déconcentrés de l’État, établissements publics, collectivités territoriales…) et des personnes publiques ou privées. Il répond aux besoins de ces pouvoirs adjudicateurs en matière de fournitures, de services ou de travaux.
Les différentes commandes passées par La Communauté d’Agglomération Grand Sud Caraïbe s’inscrivent donc dans un cadre réglementaire : le code des marchés publics.
En droit français, le code des marchés publics définit les règles de mise en concurrence pour ce qui concerne l’achat de fournitures, de prestations de services ou de travaux par les personnes publiques. Ils doivent impérativement respecter certains grands principes et les pouvoirs publics doivent :
Définir les besoins de la commande publique le plus précisément possible
Définir la procédure et la publicité adaptée aux marchés publics, au regard de la définition des besoins
Organiser une consultation des offres dès le premier euro engagé
L’entreprise qui y répond doit scrupuleusement respecter les modalités indiquées dans le règlement de consultation, éventuellement en séparant son offre en deux sous-enveloppes : sous-enveloppe de candidature et sous-enveloppe d’offre (qui contient notamment le bordereau de prix).
Marchés Publics
Ici
Pour consulter et répondre aux Appels d’offres connectez vous à la plateforme des marchés sécurisés
Cliquer ici
Terre-de-Haut
Le territoire
+27 ° C H: +26° L: +25° Terre-De-Haut Samedi, 07 Janvier Prévisions sur 7 jours
Jeu.
Ven.
Dim.
Lun.
Mar.
Mer.
+28°
+26°
+26°
+26°
+26°
+26°
+25°
+25°
+25°
+25°
+25°
+25°
Séparée de la « Guadeloupe continentale » par le canal des Saintes, Terre-de-Haut s’étend sur 600 hectares de superficie contre 680 pour Terre-de-Bas.
C’est l’île la plus orientale de l’archipel des Saintes. Elle tient son nom de la dénomination maritime qui qualifiait d’îles hautes les îles au vent et de basses les îles sous le vent.
L’île vit essentiellement de la pêche et du tourisme. Ses pêcheurs sont reconnus à travers les Caraïbes comme étant parmi les meilleurs.
Île aux paysages pittoresques et dont les habitants sont très attachants, Terre de Haut est distinguée au Palmarès mondiale des plus belle baie de la planète .
Le Maire : M. Louly BONBON
Nombre d’habitants : 1 526 habitants (Statistiques INSEE 2018)
Adresse Mairie : Hôtel de ville – Place Hazier-du-Buisson – 97137 Terre-de-Haut
Horaires d’ouverture de la mairie :
Du lundi au mardi : de 07h30 à 12h00 de 14h00 à 17h00
Le territoire
+26 ° C H: +26° L: +25° Terre-de-Bas Samedi, 07 Janvier Prévisions sur 7 jours
Dim.
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Mar.
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Jeu.
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+26°
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+26°
+26°
+26°
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+25°
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+25°
+25°
+25°
+25°
La commune tient son nom tout comme sa voisine Terre-de-Haut du langage maritime qui désignait de « basse » la terre-sous-le-vent et de « haute » la terre-au-vent. L’île se nomme officiellement Terre-de-Bas des Saintes, la commune ayant adopté le nom abrégé. C’est l’île habitée la plus occidentale de l’archipel des Saintes.
La commune s’étend sur 6,8 km2 de superficie totale et ses deux villages principaux sont : Grande-Anse à l’est et Petite-Anse à l’ouest, centre administratif de l’île.
Plusieurs îlots de l’archipel sont également rattachés à la commune de Terre-de-Bas dont :
La Coche et Les Augustins – dont le « rocher de la Vierge » sert d’amer –, tous deux situées dans la passe sud ;
Le Pâté, réputé pour son spot de plongée spectaculaire et inédit aux Antilles françaises au nord.
Le Maire : Mme Rolande NADILLE-VALA
Nombre d’habitants : 1 011 habitants (Statistiques INSEE 2018)
Adresse Mairie : Hôtel de ville – Place du 9-Août-1882 – 97136 Terre-de-Bas
Horaires d’ouverture de la mairie :
Du lundi au mardi : de 07h30 à 12h30 de 14h00 à 17h30
Le territoire
+26 ° C H: +26° L: +25° Capesterre-Belle-Eau Samedi, 07 Janvier Prévisions sur 7 jours
Dim.
Lun.
Mar.
Mer.
Jeu.
Ven.
+26°
+26°
+26°
+26°
+26°
+26°
+25°
+25°
+25°
+25°
+24°
+24°
De 103,3 km2 de superficie totale, la commune de Capesterre-Belle-Eau se situe au sud-est de la Basse-Terre, entre Goyave et Trois-Rivières.
Elle doit son nom à une expression de la marine du XVIIe siècle : cab-est-terre, qui désigne une terre exposée au vent de l’est .
Le “Belle-Eau” qui s’y ajoute vient quant à lui des nombreuses rivières qui sillonnent la commune: la rivière du Grand Carbet, la Grande Rivière de la Capesterre et la rivière du Pérou qui se rejoignent pour former une embouchure commune avant de se jeter dans l’océan Atlantique juste au nord du bourg principal au niveau de la pointe de la Capesterre.
Le Maire : M. Jean-Philippe COURTOIS
Nombre d’habitants : 18 131 habitants (Statistiques INSEE 2018)
Adresse Mairie : Hôtel de ville – Avenue Paul-Lacavé – 97130 Capesterre-Belle-Eau
Horaires d’ouverture de la mairie :
Du lundi au mardi : de 07h30 à 12h30 de 14h00 à 17h00
Le territoire
+25 ° C H: +25° L: +24° Trois-Rivières Samedi, 07 Janvier Prévisions sur 7 jours
Dim.
Lun.
Mar.
Mer.
Jeu.
Ven.
+25°
+25°
+25°
+25°
+25°
+25°
+24°
+24°
+24°
+24°
+24°
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S’étendant sur 31,1 km2 de superficie totale, la commune de Trois-Rivières est située au sud de l’île de Basse-Terre, entourée à l’est de Capesterre-Belle-Eau, de Vieux-Fort au sud-ouest et de Gourbeyre au nord-ouest.
Le territoire de la commune va du littoral Atlantique depuis l’embouchure orientale du canal des Saintes jusqu’au sommet de la Citerne (à 1 155 m). Adossée aux premiers contreforts de la Soufrière, son littoral est bordé par la mer des Caraïbes et fait face aux îles des Saintes.
La commune est traversée par quatre cours d’eau qui prennent leurs sources dans le massif de la Soufrière dominant le sud de l’île.
Le Maire : M. Jean-Louis FRANCISQUE
Nombre d’habitants : 7 991 habitants (Statistiques INSEE 2018)
Adresse Mairie : Hôtel de ville –
Place du Capitaine-Moïse-Bébel –
BP 76 – 97114 Trois-Rivières
Horaires d’ouverture de la mairie :
Du lundi au mardi : de 07h00 à 12h00 de 14h00 à 17h00
Le territoire
+23 ° C H: +23° L: +22° Gourbeyre Samedi, 07 Janvier Prévisions sur 7 jours
Dim.
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Mar.
Mer.
Jeu.
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+24°
+23°
+23°
+23°
+23°
+23°
+22°
+22°
+22°
+22°
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+21°
De 22,5 km2 de superficie totale, la commune de Gourbeyre se situe sur l’île de Basse-Terre.
À l’origine, la commune se nommait « Dos d’Âne », ce qui s’explique par le fort dénivelé causé par les formations géologiques du col permettant de joindre Basse-Terre et Pointe-à-Pitre. Cependant, Dos d’Âne n’avait aucune existence communale. Ce n’est qu’en 1837 que l’endroit est détaché de Basse-Terre et organisé comme une commune à part entière.
En 1843, un séisme ravagea l’île en grande partie, dont la commune de Dos d’Âne. C’est le gouverneur Jean-Baptiste Gourbeyre qui organisa les secours des habitants et pour commémorer ce geste la commune prit son nom, Gourbeyre, le 30 avril 1846.
Le Maire : M. Claude EDMOND
Nombre d’habitants : 7 778 habitants (Statistiques INSEE 2018)
Adresse Mairie : Hôtel de ville – Avenue Louis-Philippe-Longueteau – 97113 Gourbeyre
Horaires d’ouverture de la mairie :
Du lundi au mardi : de 07h30 à 12h30 de 14h00 à 17h00
Le territoire
+23 ° C H: +23° L: +22° Saint-Claude Samedi, 07 Janvier Prévisions sur 7 jours
Dim.
Lun.
Mar.
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+23°
+23°
+23°
+23°
+23°
+23°
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La commune de Saint-Claude s’étend sur 34,3 km2 de superficie totale. Elle est située sur les pentes du volcan de la Soufrière, point culminant de l’île à 1467 mètres. Bien qu’elle soit la seule commune de Guadeloupe à ne pas avoir de façade maritime, Saint-Claude est forte d’une végétation luxuriante, de sites naturels incontournables et mythiques de l’île, d’un climat doux et frais ainsi que de monuments historiques. Les bâtiments du CAMP JACOB furent autrefois ceux d’un hôpital militaire bâtis en 1845 ; devenu civil par la suite ils sont inscrits aux monuments historiques en 2005 et forment désormais la Faculté Roger TOUMSON de l’Université des Antilles.
Le Maire : Mme. Lucie Weck-Mirre
Nombre d’habitants : 10 659 habitants (Statistiques INSEE 2018)
Adresse Mairie : Hôtel de ville – Rue du Maréchal-Foch- 97120 Saint-Claude
Horaires d’ouverture de la mairie :
Du lundi au mardi : De 07h30 à 12h00 de 13h30 à 17h00
Le territoire
+24 ° C H: +24° L: +23° Vieux-Fort Samedi, 07 Janvier Prévisions sur 7 jours
Dim.
Lun.
Mar.
Mer.
Jeu.
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+25°
+25°
+24°
+25°
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+23°
+23°
+23°
+24°
+23°
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S’étendant sur 7,2 km2 de superficie totale, la commune de Vieux-Fort est localisée à l’extrême pointe sud de la Guadeloupe. Elle est bordée par l’océan Atlantique à l’est et la mer des Caraïbes à l’ouest. Elle se situe au sud des monts Caraïbes et son territoire est séparé à l’est de celui de Trois-Rivières par la rivière Grande Anse.
Les Indiens caraïbes qui y habitaient, dans un important centre de peuplement, ont été chassés lorsque les premiers colons français ont construit le fort Royal vers 1635-1640. Ce dernier change de nom et devient le Vieux Fort. Il est dénommé un temps le « Vieux Fort L’Olive », en hommage à Charles Liénard de L’Olive, le premier chef de la colonie.
Le Maire : M. Héric ANDRE
Nombre d’habitants : 1 844 habitants (Statistiques INSEE 2018)
Adresse Mairie : Hôtel de ville – Place Marie-Eusèbe – Rue Sylvain-Janoê – 97141 Vieux-Fort
Horaires d’ouverture de la mairie :
Du lundi au mardi : de 07h30 à 12h30 de 14h00 à 17h00